Lala & Kiki

Cette semaine en crèche a été dure pour Kiki pour l’intégration le matin. Il a fait quelques crises.

Après 3 semaines de vacances auprès de moi, à être dorloté continuellement contre moi, il a eu du mal à se séparer de moi. J’ai également eu un pincement au coeur le premier jour en le laissant partir, et pourtant, ce n’était qu’une petite pause, mais qui malgré tout, nous a chamboulé tous les deux.

Les matins, il râlait, ne voulant pas sortir. C’est son papa qui le dépose, une fois arrivé sur place et qu’il voit son papa partir, il pleure, cherchant du réconfort auprès du personnel de la crèche, qu’il connait bien.

Mais une fois la demi heure passée, il se sent mieux et poursuit les activités et les sorties avec les autres, ils n’ont pas été nombreux cette semaine. Surtout que pour cette rentrée, il a adopté son doudou Mickey. Nous en avions 2, un que nous laissons à la maison et un autre à la crèche. J’installe cette habitude dès le début pour ne pas avoir à faire faire le voyage du doudou crèche-maison au risque de l’oublier ou de le perdre quelque part. Habituer aussi Kiki à avoir des doudous différents du même personnage.

Ils sont souvent allés se promener aux parcs, ayant moins d’enfants présents avec les vacances, ils en profitent aussi pour pique-niquer.

Il est passé depuis la rentrée, dans la chambre « des grands », c’est à dire qu’il ne fait plus ses siestes dans un lit à barreau mais sur des banquettes avec un sac de couchage. C’est super car cela me permet de prendre aussi mon temps pour le mettre dans un lit sans barreau dans quelques mois.

Mis à part cela, son appétit n’a pas changé, il aime toujours autant manger là-bas.

Une nouvelle année commence! C’est sa dernière année avant qu’il ne rentre à l’école.

Une année de plus au compteur…

Tu as maintenant 2 ans, cela signifie que le temps passe vite et que tu grandis de jour en jour.

Cela fait aussi 2 ans que je suis maman. Un monde inconnu, un rôle que je ne prétendais pas connaître, et que j’ai appris seule à le devenir.

Malgré quelques moments difficiles où je me suis sentie très seule, tu as réussi à me donner le moral, la force, l’énergie, pour rebondir. Et cela dans tous les domaines. Je rêvais d’une famille nombreuse, mais la vie a fait que je n’étais pas assez entourée à mon gout pour pouvoir réaliser ce rêve. Je ne suis pas une maman très courageuse, je suis trouillarde, j’ai des angoisses, je mise beaucoup pour la sécurité, pour culpabiliser le moins possible.

Tu as bien grandit ces derniers mois : tu comprends beaucoup de choses, tu as la soif d’apprendre, j’ai du mal parfois à retrouver mon bébé, mon nourrisson, celui que je ne cessais de caresser lorsque tu étais dans mon ventre, que j’étais fière de porter, même si je ne retrouve plus mon ventre d’adolescente ;.). Mais j’apprécie plus qu’avant nos échanges, car on se communique en permanence. J’adore quand tu sais que tu as fait une bêtise ou que tu tombes car tu ne regardes pas la où tu marches, tu as tendance à te justifier dans un langage où je suis la seule à comprendre en tant que maman. Qui est d’ailleurs la plus belle langue au monde pour moi. Ce langage qui disparaîtra un jour et que j’adore écouter.

Comme je t’ai dit, je suis une maman angoissée, c’est dans ma nature. Je me préoccupe en permanence de l’instant présent, mais aussi de l’avenir. Je souhaite t’équiper un maximum pour affronter ce monde parfois cruel. Chose que je n’ai pas eu pour ma part, ou peut être pas assez, et que j’aurais aimé avoir, sans avoir à apprendre tout, toute seule. Bien pour cela que j’ai du mal à faire confiance à l’être humain. Je préfère m’entourer d’un comité réduit de personnes avec beaucoup de chaleur humaine. Je fuis très vite pour me mettre a l’abri. Pour avoir trop donner à une période, je ne donne aujourd’hui que lorsqu’il y a beaucoup de sincérité et d’amour que je ressens.

Cette année sera ta dernière année en crèche, j’aurais bien aimé que tu y sois toute ta vie, car c’est plus rassurant de te voir dans un environnement que je connais par cœur, plutôt que de se refaire tous les deux l’intégration de confiance dans un monde inconnu. Oui car lorsque tu dois t’intégrer, je dois aussi faire moi-même ce travail d’intégration en même temps que toi.

C’est aussi l’année ou tu ne seras plus seul parmi nous, puisque ton frère sera là dans quelques jours, dans quelques semaines. Vous aurez 2 ans d’écart, ce que j’ai toujours souhaité, car c’est quelque chose que je n’ai pas eu et qui m’a assez manqué. C’est mon choix, ma vie, et non celle des autres. Je veillerai à votre complicité, à votre affection, même si les choses ne se passent pas toujours comme on les prévoit, mais je crois très sincèrement qu’on peut les provoquer. Vaut mieux cela que de rester silencieux face a une situation conflictuelle.

Comme tu peux le voir, je veux tout contrôler, car j’ai grandit dans un monde d’indifférence presque totale, alors que j’aurais aimé que l’on me guide un minimum et non qu’on me détruise à petit feu. Cela m’a mené dans un premier temps dans une dépendance par manque de confiance, j’ai eu du mal a trouver mon indépendance, même si j’ai heureusement fini par la trouver. Le but étant que tu aies tout un bagage bien rempli pour être libre dans tes choix, tes décisions.

Tu es l’amour de ma vie, je ne cesse de dire à autrui que tu es l’homme de ma vie. Chaque séparation est difficile malgré que cela nous soit utile à tous les deux.

En tout cas, je suis fière du petit chemin que l’on a parcouru ensemble. La route est encore longue mais courte a la fois.

Je t’aime mon bébé.

J’ai eu des contractions douloureuses vers 22h30, elles ont été intenses 30 min après de façon assez violentes. Je n’ai pas eu le temps d’avoir la péridurale. L’anesthésiste a fait demi-tour.

Moi qui avait hésité entre un accouchement naturel et la péridurale, ma bonne étoile a pris la décision de me donner un accouchement naturel.

Après plusieurs poussées, mon petit homme est enfin né. Il était tellement bouillant qu’on aurait cru qu’il sortait d’un four.

Un moment de grande émotion qui se poursuit jusqu’à encore aujourd’hui.

Nous venons de fêter son 2ème anniversaire. Une maman très émue. C’est aussi la dernière année ou il fêtera seul son anniversaire puisque l’année prochaine, il sera accompagné de son frangin, si tout va bien.

Plus que moins d’un mois avant le terme. C’est la rentrée pour Kiki demain, cela me permettra de souffler un peu, de me retrouver seule, de préparer ma valise, de régler les derniers détails, et de me reposer.

Hier, un peu avant minuit, Kiki a fait un cauchemar, il a sangloté pendant 5 min, je suis allée le réconforter. Cela fait un bail que ça ne nous est pas arrivé. Le papa a pris le relais et a fini par l’emmener dans notre lit, malgré beaucoup de câlins et de paroles pour le rassurer.

Depuis qu’il fait complètement ses nuits (autour des 2-3 mois), il n’a jamais vraiment dormi avec nous, hormis les séjours ou week-end hors de la maison et une ou deux fois après des cauchemars.

Il est resté avec nous, à jouer avec son doudou Mickey, qu’il a adopté depuis les vacances. Moi qui pensait qu’il n’aurait pas de doudou, c’est arrivé finalement assez tard. Au bout d’1-2h, n’arrêtant pas de bouger, nous sommes loin d’avoir un lit de 2m, je commençais à perdre patience, fatiguée aussi de la journée, agréable de l’avoir avec nous, mais j’étais épuisée. Le papa l’a emmené doucement dans sa chambre, il se sentait mieux et n’a pas râler quand il l’a posé, il a dormi jusqu’au petit matin, comme à son habitude.

Quant à moi, le réveil a été dur, surtout que j’ai été réveillé par mes livraisons de déco de chambre de Kiki2 et des cadeaux d’anniversaire envoyés par la famille, qui ne peuvent pas venir nous voir.

Et oui, aujourd’hui, il y a deux ans, c’était le lendemain de la cérémonie de fermeture des JO de Londres, j’étais en soirée à la maternité, après avoir perdu les eaux vers 16h. On a pu m’attribuer une chambre vers 21h, je n’avais pas encore de contractions douloureuses, j’étais même au téléphone avec une amie qui venait aux nouvelles, un coup du hasard. J’ai aussi pris le diner la bas.

Je partageai la chambre avec une maman alitée depuis ses 4 mois il me semble. C’était son 3ème ou 4ème. Elle me guidait, la maternité étant pleine, le papa est rentré à la maison, puisqu’on lui a dit que ce ne serait probablement pas pour ce soir. Ouverte à 0.5 vers 17h et ouverte seulement à 2 en soirée, c’était assez long pour eux, même s’ils n’excluent pas un accouchement dans la nuit. La maman me donnait pleins de conseils : marcher, s’allonger sur le côté, pour accélérer le travail. Il n’y avait pas de ballon de disponible.

La suite du rappel à l’histoire demain!

Je continue sérieusement mes piques, je remplie le tableau. RAS. J’ai repris mon petit déj pain avec du beurre. Je me suis même permise un peu de confiture sur mes tranches de pain au gouter. Les résultats sont bons. Mais c’est tout de même embêtant de ne pas manger à volonté et entre les repas ;.)

Quand je disais que cette 2ème grossesse n’a rien à voir avec la 1ère….

Ce matin, réveil à 6h30, que c’est dur! Je dois arriver à la maternité à 8h. Je pars bien à l’heure, je profite en même temps de la fraîcheur matinale ;.) Après 3 stations de métro (quelle chance d’avoir la maternité pas loin), j’arrive avant l’heure. Je me rend au secrétariat pour faire une fiche d’hospitalisation de jour, le rideau n’est pas encore ouvert.

Cinq minutes après avoir parcouru 2 bâtiments pour trouver le lieu de rdv. Je me présente auprès de 2 sages femmes en l’espace de 10 min. Non, je ne voulais pas attendre, je ne voulais pas trainer à la maternité pour rien.

Celle qui s’occupe de moi est extra, j’ai pris de l’avance à la maison sur la formation de l’appareil pour mesurer la glycémie. On a gagné du temps grâce à cela. 1er pique à jeun, bon résultat, tout comme deux jours avant. Sauf que je dois le faire 6 fois dans la journée au lieu de 2 comme je l’ai fait :p et tout noté sur un tableau. On me donne le petit déjeuner, cela me rappelle mon séjour, rien d’appétissant, hormis la confiture et le beurre, les biscottes passent. J’avoue que je suis difficile car exigeante et habituée aux bonnes choses, mon bon pain de ma boulangère, de la bonne confiture, du bon beurre, et mon Ricoré. Je mange parce que j’ai faim et qu’il faut bien prendre de l’énergie.

Je redescends en bas pour me rendre dans l’autre bâtiment, afin de faire ma fiche. Youpi, personne devant moi, il y a 3 secrétaires à leur bureau. Mais pas de bonjour, donc je prends quand même une étiquette de passage. L’écran d’appel ne bouge pas pendant 10-15 min, bon… Une autre maman qui est arrivée 2 min après moi, commence à râler. Je comprends car on s’impatiente vite dans ce genre de situation. 2 puis 3, 4, 5 personnes arrivent. On se regarde, l’écran ne bouge pas. Il y a un véritable décalage entre le personnel médical et le secrétariat.

Enfin on appelle mon numéro! Une fiche qui devait se faire en 2 min, s’est faite en 10 min. Secrétaire qui raconte sa vie au téléphone -__-

Je retourne dans l’autre bâtiment pour retrouver mon lit d’appoint, dans le couloir près du bureau des sages femmes. Il est 8h50, on me pose le monitoring pour faire des mesures. Après 30-45 min, tout va bien. RAS.

Je discute avec une autre maman qui vient pour le même soucis, mais elle n’est seulement qu’à 5-6 mois avec son diabète, heureusement que je n’ai qu’un mois à tenir.

10h20, 2ème pique après le repas, RAS, bon taux de glycémie.

Je rencontre ensuite une diététicienne pour faire le point sur mon alimentation. Elle trouve que j’ai supprimé de trop de choses alors que j’ai besoin de me nourrir un peu plus. Je réintègre donc le pain et le beurre le matin. Par contre, je peux me lâcher une fois par semaine pour des desserts. Il faut donc que je fasse attention à ne pas trop me priver, du sucre on en a besoin.

Dernière étape, woaw déjà! Alors que je ne devais partir qu’en milieu d’après-midi. L’échographie pour vérifier tout cela. Je suis reçue par une interne. Pas très enthousiaste encore une fois (des fois je me demande, pourquoi ce métier?). Après avoir galérer avec mon bébé qui bougeait trop pour elle, elle en a déduit que bébé avait un trop gros ventre et qu’il était dans la limite. Il pèse actuellement 2.8 kg selon elle, j’ai été choqué car c’est le poids de Kiki1 mais à sa naissance!

Je reste le regard dans le vide : « mais je ne comprends pas, je n’ai pris que 6-7kg ». « Oui, c’est le bébé qui a tout pris madame ».

J’ai donc rdv dans 2 semaines pour surveiller tout cela, j’espère que la prise de poids se fera au ralenti. Mais j’espère aussi que ce n’est pas une erreur! Surtout si c’est pour me retrouver à un poids inférieur à la naissance suite à un déclenchement.

Finalement, je n’y ai passé que la matinée, je suis retournée voir la sage femme pour lui remettre le compte rendu de l’échographie. Elle m’a demandé si je voulais déjeuner avant de partir, j’ai décliné son invitation, le petit déjeuner m’a donné un avant gout du repas de midi, non merci! Gardons ça pour le séjour à la naissance. « Je vous aime bien mais je préfère manger chez moi :p ».

Aujourd’hui, reprise du travail pour le papa, on se retrouve seuls à deux.

On rentre dans la dernière semaine de vacances avant la reprise de la micro-crèche la semaine prochaine. Même si mes moments avec Kiki sont agréables et que l’on passe notre temps à se câliner, à s’amuser, à rire, j’ai tout de même hâte qu’il reprenne le chemin de la crèche. Pour pouvoir m’occuper un peu plus de moi, car je n’ai pas eu un moment de replis depuis mon congé maternité.

J’espère que bébé 2 me laissera le temps de souffler un peu, aller chez l’esthéticienne, régler les derniers détails shopping et déco. Pouvoir dormir encore et encore avant que les nuits blanches nous rattrapent.

J’ai commencé à faire les courses pour remplir ma valise pour le séjour à la maternité. Cette fois, je sais comment ça se passe, malgré tout, je ne m’étais pas plus encombrée que ça pour Kiki 1, donc je vais faire pareil. Le stricte minimum.

Après les courses, Kiki à la sieste en fin de matinée, je lui prépare son petit repas, mon repas également. Je prend un peu de temps pour déjeuner et être au calme.

Il se réveille en début d’aprem vers 13h30, il déjeune tranquillement, on prend notre temps. Je suis déjà essoufflée, les petites sucreries me manquent terriblement. Courage, je fais un effort au moins jusqu’à ma journée à la maternité demain. Heureusement que Kiki est fan de Mickey, on se met devant la chaîne Disney Junior et on se tape les DA. Ca me repose même si je sais que je suis maudite de laisser autant un enfant regarder la TV. J’étais pareille face au DA japonais du Club Dorothée de mon enfance, je n’en suis pas traumatisée, au contraire, au bout d’un moment, j’ai réussi à me lasser de la tv. Puis, c’est les vacances! Il reprendra la crèche, ce qui lui donne moins l’occasion d’être face à l’écran. Il y a tout de même pas mal d’apprentissage malgré tout, tout en s’amusant, il apprend les animaux, il met des syllabes à tout ce qu’il voit. Et tout ça, dans mes bras avec beaucoup d’affection entre nous. La belle vie comme je l’aime!

J’ai fait mes piques aussi pour mesurer la glycémie, RAS!

C’est le cas de le dire! ^^

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J’ai commencé les piques aujourd’hui pour récolter le sang me permettant de mesurer la glycémie. RAS, c’est négatif.

La chaleur me fatigue beaucoup, il y a peu d’air qui circule. Autant avant je pouvais combler tout ça par une bonne pâtisserie ou une bonne boule de glace, mais là, ça en devient désagréable. Mais je tiens le coup. Fighting!

Je continue à construire mon nid, j’ai pu débarrasser un maximum la nouvelle chambre, il ne me reste plus qu’à en faire une chambre de bébé.

Je me suis faite gronder par le papa car il a vu que j’avais débarrassé sa chaine hifi, sa guitare, ses consoles de jeux, tout ce qu’il y avait de lourd sur des étagères. J’ai préféré le faire car l’attente m’aurait stressé encore plus. Il a beaucoup de travail, je l’ai rassuré en disant que cela allait très bien, j’ai l’habitude et je n’ai pas fait les choses comme une débutante. J’ai fait les choses dans le calme. Cela n’a pas empêché le fait d’avoir toujours le col fermé :p Bon j’avoue, j’ai eu des courbatures le lendemain. C’était la dernière chose de pénible à faire donc maintenant je suis sereine et soulagée. Ca m’arrive aussi de porter mon fils quand il le faut, sous les yeux des passants qui me regardent de travers mais je m’en fiche. La nature fait bien les choses, une maman reste une maman et son corps suit la transformation, quelque soit le gabarit.

La chaleur freine beaucoup les choses, je fais tout au ralenti.

Les week-ends, mes deux hommes disparaissent de la maison l’après-midi pour se promener et aller manger une glace. La chaleur, le poids de mon ventre ne me permettent pas vraiment de bouger longtemps, je suis vite essoufflée. Surtout qu’ils font beaucoup de marche, et le fait de trainer derrière eux ne leur faciliterait pas la tâche. De toute façon, je ne peux pas manger de glace. Je garde tous ces petits plaisirs pour l’anniversaire de mon fils adoré.

J’en profite donc pour m’allonger au calme quand ils ne sont pas là. Kiki fait la sieste en rentrant, ça me permet de prendre un petit gouter et préparer son repas.

Le soir avant de dormir, nous faisons un petit tour chez Mickey et son monde magique que Kiki adore.

J’ai hâte d’accoucher mais en même temps, j’ai peur du peu de temps qui me reste, j’aime malgré tout porter Kiki2 en moi, le sentir bouger, le caresser. C’est aussi magique. C’est quelque chose qui va beaucoup me rendre nostalgique quand il sera sorti.

J’espère que les températures vont baisser d’ici là, afin de profiter à fond des derniers moments.

Dans quelques jours, mon petit homme soufflera sa 2ème bougie. Que le temps passe, le coeur d’une maman qui va encore être chamboulé.

Tu évolues très vite, les mots, on ne les compte plus.

On ne répertorie plus tout ce que tu fais car tu fais tellement de chose.

En ce moment, ta passion, ton coup de coeur, ton héros, c’est Mickey! Tu es fan du DA La maison de Mickey. Tu connais quelques répliques par coeur, les formules, les noms.

Tu adores aussi les animaux de la ferme, de la savane, aquatique, tu en connais un rayon et imite même leur langage. Mais tout ce qui est rose c’est le cochon, tu as encore du mal avec ça :p

Les nuits, les siestes, se passent toujours à merveille, maman a bien de la chance de t’avoir car elle se repose ou s’occupe pendant ce temps là. Une vraie sagesse.

Quant aux repas, tu as les mêmes gouts que maman : le riz accompagné de plats sauté ou de soupe sautée aux viandes et légumes. Tu boudes quand même les légumes et tu choisis tes plats. Tu adores par dessus les fruits, particulièrement les melons en cette saison.

Que dire de plus, tu es toujours en vadrouille, tu comprends quand il faut ranger tes jouets, tu manges toujours proprement, d’ailleurs on te fait toujours des compliments sur ça. Tu aimes aider à ranger les courses, on dirait que c’est noel pour toi, tu te sens enfin utile.

Quant on est invité, tu es super sage, tu es toujours aussi timide. D’ailleurs, tu m’accompagnes à la préparation à l’accouchement individuel et cela se passe super bien car tu es sage et tu essaies bien de t’occuper avec ce qui te tombe sous la main.

On est de plus en plus fusionnels, il y a beaucoup d’échange entre nous, j’aime satisfaire ta curiosité quand tu me poses des questions ou me montre du doigt ce qui t’entoure. C’est vraiment une période que j’adore!